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Métiers de Rééducation et de Réadaptation des Pays de la Loire.
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Les médicaments d’aujourd’hui et de demain dans le traitement de la dysfonction vésicale de la SEP / Karl-Erik Andersson in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57 n° 5 (July 2014)
[article] Les médicaments d’aujourd’hui et de demain dans le traitement de la dysfonction vésicale de la SEP [texte imprimé] / Karl-Erik Andersson, Auteur . - 2014 . - p. 321-328.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57 n° 5 (July 2014) . - p. 321-328
Catégories : PATHOLOGIE
Sclérose plaque
THÉRAPEUTIQUE
Médicament
SPÉCIALITÉ
PharmacologieTags : Sclérose en plaques Médicaments Pharmacologie Vessie hyperactive Résumé : La majorité des patients atteints de sclérose en plaques (SEP) développent au cours de leur maladie des symptômes des voies urinaires inférieures (SVUI). Même si le traitement antimuscarinique (anticholinergique) est actuellement la pierre angulaire du traitement conservateur de l’hyperactivité neurogène du détrusor (HND), dont la HND résultant de la SEP, des données extensives sur leur efficacité et leur innocuité font toujours défaut. Lorsque les médicaments antimuscariniques manquent d’efficacité, des injections intradétrusoriennes de toxine botulique type A (TBA) constituent une option alternative. Dans plusieurs études, plus de la moitié, voire jusqu’à 76 % des patients traités avec la TBA rapportent une amélioration significative de leurs symptômes, et certains sont mêmes parviennent même à une continence complète. Les extraits de cannabis ont suscité de l’intérêt mais ne sont pas encore généralement considérés comme un traitement efficace. Pendant les dernières années de nombreux nouveaux médicaments influençant le cours de la maladie ont été approuvés et introduits comme traitements de la SEP. Ces médicaments peuvent avoir un effet non seulement sur le processus pathologique, mais également sur d’autres symptômes, dont des SVUI. Cependant, la SEP n’est pas essentiellement une maladie de la vessie, et le but principal du traitement doit consister à traiter la pathologie sous-jacente. Puisque la plupart des médicaments urologiques ciblent les SVUI, ils doivent être considérés comme complémentaires des traitements modificateurs des troubles sous-jacents. Et puisque la plupart de ces médicaments n’ont pas été étudiés spécifiquement par rapport à leur efficacité en cas de SVUI, et comportent des effets secondaires significatifs, il semble important que lorsqu’il est question de les utiliser dans le traitement de symptômes vésicaux, il y ait une décision conjointe de la part du neurologue et de l’urologue s’occupant du patient. En ligne : http://www.em-consulte.com/produit/rehab Permalink : https://ifm3r.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11069 [article]OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques / Brigitte Schurch in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57 n° 5 (July 2014)
[article] OnabotulinumtoxinA et sclérose en plaques [texte imprimé] / Brigitte Schurch, Auteur ; Stefano Carda, Auteur . - 2014 . - p. 302-314.
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57 n° 5 (July 2014) . - p. 302-314
Catégories : PATHOLOGIE
Incontinence urinaire , Sclérose plaqueTags : Sclérose en plaques Toxine botulique type A Vessie hyperactive Incontinence urinaire Résumé : Des troubles urinaires du bas appareil sont présents à cinq ans du diagnostic chez les deux tiers des patients avec une sclérose en plaques. Les symptômes les plus fréquents sont liés à l’hyperactivité du détrusor d’origine neurogène, fréquemment associée à la dyssynergie vésico-sphinctérienne. Dès la fin des années 1990, l’évidence scientifique a montré que l’hyperactivité neurogène du détrusor peut être traitée efficacement par des injections intradétrusoriennes de toxine botulique de type A. Ce traitement a fait ses preuves, dans plusieurs études randomisées contrôlées par placebo, de sécurité et efficacité par rapport aux paramètres cliniques et urodynamiques, avec une amélioration significative de la qualité de vie. La durée d’effet médiane est de neuf mois. La grande majorité des études ont été effectuées avec de l’onabotulinumtoxinA. La dose d’onabotulinumtoxinA normalement utilisée pour traiter l’hyperactivité neurogène du détrusor chez les patients avec une sclérose en plaques est de 200UI, même si, dans des cas sélectionnés, des doses plus faibles peuvent être choisies. Pour être considéré apte au traitement, chaque patient doit accepter et être instruit à l’auto-cathétérisme intermittent propre, en raison du risque d’augmentation du résidu post-mictionnel et/ou de rétention urinaire, surtout avec une dose de 200UI d’onabotulinumtoxinA. Néanmoins, la qualité de vie et la satisfaction des patients ne semblent pas être altérés par le besoin de s’auto-sonder. Le risque d’infection urinaire après la procédure doit être considéré, surtout chez les patients avec sclérose en plaques, donc une prophylaxie par antibiotiques est vivement recommandée. En ligne : http://www.em-consulte.com/produit/rehab Permalink : https://ifm3r.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11067 [article]Rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant / Delphine Lelong in Kinésithérapie scientifique, N° 607 (mars 2019)
[article] Rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant [texte imprimé] / Delphine Lelong, Auteur . - 2019 . - p. 23-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > N° 607 (mars 2019) . - p. 23-28
Catégories : PATHOLOGIE
Appareil urinaire [pathologie]
PRATIQUE MÉDICALE
Rééducation fonctionnelle
PHYSIOLOGIE
Excrétion
DÉMOGRAPHIE
EnfantTags : enfant énurésie nocturne instabilité urétrale instabilité vésicale miction dysfonctionnelle rééducation troubles fonctionnels urinaires urothérapie vessie hyperactive Résumé : L'objectif de cet article est de vérifier la place de la kinésithérapie dans la rééducation des troubles fonctionnels urinaires de l'enfant, à l'aide des parutions scientifiques recherchées sur PubMed/MedLine.
Les résultats suggèrent que le kinésithérapeute peut être sollicité dès les premières intentions à l'aide de l'urothérapie. Puis, l'enfant peut apprendre à renforcer ou à relâcher ses muscles du plancher pelvien à l'aide d'exercices ou encore de biofeedback.
Enfin, les revues suggèrent un intérêt thérapeutique par la neuromodulation ou stimulation cutanée.
La kinésithérapie a donc une place dans le traitement de ces troubles pédiatriques et possède différents outils et moyens de les traiter, en association avec le traitement médical.En ligne : http://www.ks-mag.com/ Permalink : https://ifm3r.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16706 [article]